Ouïe Magazine
Publié le 09/06/2023

 

Depuis quelques semaines, le centre de recherche d’Oticon à Eriksholm (Danemark) partage sur ses réseaux sociaux des visuels et des anecdotes sur les appareils qu’il a conservés au fil des années.

 

Le centre de recherche du fabricant danois a lancé il y a peu sa page Instagram. Il partage, sur ce réseau, sur Linkedin et sur son propre site, une série de visuels d’appareils auditifs anciens, en expliquant leurs particularités, les raisons de leur échec ou de leur succès, les étapes qu’ils ont permis de franchir, techniquement. Dans la Eriksholm Collection, on peut notamment découvrir l’Oticon TA de 1946 et son énorme batterie externe. Elle était portée, par les hommes, à la ceinture ou grâce à une attache portée autour du mollet. En plus d’être lourde, elle n’offrait pas toujours une grande autonomie : 8 heures pour un modèle, 3 semaines pour l’autre. La collection comprend également le surpuissant Oticon E28P, aux caractéristiques techniques révolutionnaires pour son époque (1982), notamment en appareillage pédiatrique, ou son 1er intra, Oticon I11V, qui fut un échec en raison de sa laideur. Insolite, le fabricant a également une aide auditive dessinée par le joaillier Cartier au début des années 90, qui se portait comme une boucle d’oreille. Très chic !

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