Le 43e Congrès des audioprothésistes ouvre ses portes demain au Palais des congrès de Paris. Cette nouvelle édition se veut fédératrice et ambitionne de réunir l’ensemble de la profession autour de thématiques variées : scientifiques, pratiques, réglementaires… Entretien avec Brice Jantzem, président du SDA, et Stéphane Gallégo, vice-président.
Ce Congrès est le premier organisé sous votre présidence. Cela implique-t-il des changements ?
Brice Jantzem : Non, pas spécialement, car le SDA oeuvre dans la continuité du travail de Luis Godinho et la transition se fait en douceur. Ce Congrès évolue par rapport aux précédentes éditions, mais cela avait déjà été décidé sous la présidence de mon prédécesseur. Nous avons modifié le format des conférences. Les tables rondes se déroulent désormais sur les 2 jours, afin d’inciter les participants à aller en salle plénière et à suivre davantage de conférences. Elles sont organisées par le SDA, mais aussi le Synea et le Snitem, car ce Congrès est celui de tous les audioprothésistes. Pour mettre en avant cet aspect, nous avons d’ailleurs mis en place un nouveau protocole : le ruban sera coupé par les présidents de tous les syndicats lors de l’inauguration.
Pour la première fois, le Congrès se tient le jeudi et le vendredi, et non plus le vendredi et le samedi. Qu’attendez-vous de ces nouvelles dates ?
B.J. : Ce choix a été fait avec les exposants et décidé unanimement. Nous avons voulu nous adapter aux évolutions afin de maintenir une fréquentation élevée. Il y a une vingtaine d’années, les audios aimaient bien rester le samedi, notamment pour participer aux soirées organisées par certains exposants, devenues rares avec la loi anti-cadeaux. Aujourd’hui, il est plus difficile d’attirer les professionnels le week-end.
Le SDA organise tout de même un diner le jeudi 16…
B.J. : Oui, car nous voulons préserver l’esprit de convivialité du Congrès. Cet événement se déroule dans le respect total de la loi : les participants, environ une centaine, payent leur repas.
Les exposants sont-ils toujours au rendez-vous ?
Stéphane Gallégo : Ils seront, comme les années précédentes, une soixantaine. Il y a en outre 10 % de surface en plus par rapport à l’année dernière. Les grosses entreprises ont un peu réduit la superficie de leur stand, mais beaucoup de nouveaux acteurs sont là : des enseignes, des assureurs, des start-ups. L’offre s’élargit. Nous notons cependant deux absences, celles d’Optical Center et d’Audilab.
Vous pourrez lire cette interview en intégralité dans le n°120 de L’Ouïe Magazine.
Retrouvez-nous au Congrès sur le stand de L’Ouïe Magazine : C21.